Wednesday, November 12, 2025
  • English
  • Français
  • فارسی
  • عربی
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
    • Héroïnes enchaînées
    • Femmes marquantes
    • Les femmes dans l’histoire
  • Evénements
    • Activités
    • Solidarité
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
    • Héroïnes enchaînées
    • Femmes marquantes
    • Les femmes dans l’histoire
  • Evénements
    • Activités
    • Solidarité
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
Pas de résultat
View All Result
Acceuil Articles
Hollie McKay interviewe Aziz Rezai

Hollie McKay interviewe Aziz Rezai

April 20, 2025
dans Articles
Telegram

Dans Hot Air, Hollie McKay s’entretient avec Aziz Rezai, une figure lumineuse de la lutte des femmes iraniennes sous les régimes du chah et des mollahs. Des extraits de cette interview sont présentés ci-dessous :

Des décennies de résilience : le récit bouleversant d’une femme torturée sous le chah éclaire la sombre histoire de l’Iran

PARIS, France – Cinquante ans plus tard, Aziz Rezai militante contre le régime iranien porte encore les cicatrices de la torture sur la plante de ses pieds fragiles. Pourtant, les années de sévices et d’emprisonnement politique de cette femme de 96 ans ne sont pas le fait du poing de fer des mollahs, mais de leur prédécesseur, Mohammad Reza Shah Pahlavi — mettant en lumière la face cachée d’une époque iranienne souvent idéalisée dans les récits historiques comme un havre de liberté et de progrès.

Hollie McKay interviewe Aziz Rezai
Les enfants Rezai tués par les régimes du chah et des mollahs

« L’Iran était un pays magnifique – mais seulement pour les très riches, pas pour la grande majorité des Iraniens, et c’est cela, l’histoire de la Révolution », me confie Aziz depuis son petit appartement en périphérie de Paris. « Et il n’y avait qu’un seul parti – aucune opposition n’était tolérée. »

Née Zahra Norowzi en 1929 à Téhéran, Aziz – un surnom bien plus connu, qui signifie « chère » – s’est mariée et a donné naissance à son premier enfant, un fils prénommé Hassan, à l’âge de quatorze ans. Il est décédé peu après sa naissance d’une pneumonie.

Cependant, cette tragédie n’était qu’un prélude à ce qui allait suivre.

Selon Aziz Rezai, le malheur de sa nation a réellement commencé au début des années 1950, avec le renversement orchestré par l’Occident du Premier ministre démocratiquement élu d’Iran, Mohammad Mossadegh, qui avait nationalisé l’industrie pétrolière du pays. Cet acte, associé à d’autres politiques nationalistes et aux craintes occidentales du communisme, a conduit au coup d’État de 1953 soutenu par la CIA et le MI6, connu sous les noms de code TPAJAX et Operation Boot respectivement, qui a renversé Mossadegh et restauré le chah en tant qu’unique pouvoir et non plus en tant que leader symbolique.

« Ensuite, mon fils Ahmad, alors au lycée, s’est engagé dans la politique (d’opposition) », se souvient Aziz. « Et c’est à ce moment-là que nos vies ont vraiment basculé. »

Au fil des années de troubles qui suivirent, Aziz allait perdre au total trois fils et deux filles aux mains des régimes oppressifs iraniens – quatre sous le chah et une sous les mollahs. Les hommes du chah ont également tué un de ses gendres, tout comme l’ont fait les mollahs.

Hollie McKay interviewe Aziz Rezai
Le fils, Mehdi, exécuté par un peloton d’exécution sous le chah

Leur crime ? Être membres de l’Organisation des Moudjahidines du Peuple d’Iran (OMPI), un groupe d’opposition fondé en 1965. Mais la transgression peut-être la plus lourde sous le règne du Shah fut la création et la supervision par ce dernier de la police secrète SAVAK (Organisation de renseignement et de sécurité du pays), mise en place après la consolidation de son pouvoir. Cette puissante force de sécurité intérieure réprimait violemment quiconque était perçu comme défiant, de manière formelle ou informelle, les politiques du gouvernement.

Après des mois de torture et une évasion spectaculaire de prison, le fils d’Aziz, Reza, fut tué le 15 juin 1973 lors d’un affrontement dans la rue avec la SAVAK. Un autre de ses fils, Ahmad, avait été abattu dans des circonstances similaires dix-huit mois plus tôt. En 1975, sa fille Sedigheh fut également abattue par la SAVAK alors qu’elle tentait d’échapper à une arrestation. D’une certaine manière, reconnaît Aziz, il était plus facile d’accepter l’idée que ses enfants ne subiraient plus jamais les brutalités de la main de fer de la SAVAK.

Comme le confirment de nombreuses figures de l’opposition, entre 1963 et 1979, le règne du chah en Iran fut marqué par des mesures répressives sévères visant à étouffer toute dissidence politique. Des milliers de militants politiques furent torturés ou exécutés. Même certaines réformes – comme le droit de vote accordé aux femmes – contribuèrent à aliéner les musulmans traditionalistes.

Ce climat de terreur s’étendait même jusqu’aux étudiants iraniens à l’étranger. Selon Amnesty International, la SAVAK du chah avait déployé un nombre inquiétant d’agents pour espionner les quelque 30 000 étudiants iraniens présents aux États-Unis, témoignant de la paranoïa du régime et des moyens extrêmes employés pour museler toute opposition potentielle. Les rapports d’Amnesty évoquent également des actes de torture inimaginables infligés par la SAVAK : décharges électriques, injection d’eau bouillante dans le rectum, viol avec une bouteille brisée, arrachage d’ongles et de dents…

Hollie McKay interviewe Aziz Rezai
Mme Aziz Rezai

Par ailleurs, à partir de 1972, les personnes considérées comme prisonniers politiques étaient jugées par des tribunaux militaires secrets, où la culpabilité était déterminée uniquement sur la base de preuves rassemblées par la SAVAK. Les accusés n’avaient aucun droit à une défense légale.

Une exception toutefois : le fils d’Aziz, Mehdi, arrêté en mai 1972.

« Ils le faisaient allonger sur un banc dont le dessous était chauffé, jusqu’à ce que le métal devienne brûlant, et ils continuaient à le brûler ainsi », raconte Aziz, frémissant au souvenir de l’état dans lequel elle avait retrouvé son jeune fils. « Ils lui ont aussi arraché les ongles. »

Les méthodes décrites par Aziz ont été confirmées par des rapports d’Amnesty International.

Après trois mois de détention, poursuit-elle, Mehdi réussit à tromper la SAVAK en leur faisant croire qu’il accepterait de parler publiquement contre l’OMPI – une aubaine pour le régime. Son procès fut exceptionnellement rendu public. Mais au lieu de condamner le mouvement, il fit exactement le contraire : il révéla les tortures atroces qu’il avait subies et réaffirma son engagement à défendre les plus démunis dans un pays gangrené par l’opulence scandaleuse. Des journalistes étrangers étaient présents dans la salle – ce qui provoqua la colère du gouvernement du chah.

Mehdi fut alors soumis à des traitements encore plus inhumains.

« J’espère que Dieu prendra soin de toi, et je suis fière de toi », se souvient Aziz lui avoir murmuré lors de leur dernière étreinte.

Mehdi fut exécuté plus tard par un peloton d’exécution. Il avait 19 ans.

La maison d’Aziz était devenue une sorte de refuge pour toutes les familles dont les proches avaient été emprisonnés ou tués par les forces du chah, un lieu de réconfort et d’espoir partagé. De plus, toute la famille d’Aziz connut la prison sous le régime du chah, y compris la matriarche elle-même, incarcérée par la SAVAK de 1975 à 1977 – subissant des flagellations répétées, des suspensions par les chevilles, l’isolement cellulaire et un procès clandestin qui mena à une peine de trois ans. Son mari fut emprisonné en même temps qu’elle.

« Le garde mettait sa botte dans ma bouche et appuyait avec son pied sur mon cou pour m’étouffer », se souvient Aziz, en montrant ses pieds nus encore marqués par les cicatrices. « J’entendais les hurlements de gens à qui on amputait des membres – surtout des doigts. Ils (les gardiens) nous frappaient, nous suspendaient la tête en bas, puis nous forçaient à courir autour de la cour pour faire dégonfler les blessures… afin de pouvoir recommencer à nous battre. »

Son corps frêle, qui pesait à peine 40 kilos, fondit jusqu’à 30. Elle et sa fille Fatimah – emprisonnée avec ses jeunes enfants – confirment que les détenus, hommes comme femmes, subissaient le même degré de torture. Les femmes étaient en plus exposées à des violences sexuelles et à des viols.

Même après leur libération, les prisonniers politiques iraniens étaient constamment surveillés et harcelés par la police secrète, la SAVAK, qui leur interdisait souvent d’accéder à un emploi ou de reconstruire leur vie – et cela touchait aussi leurs proches. Lors de ses interviews, le chah décrivait systématiquement les militants politiques emprisonnés comme des terroristes et ne niait pas l’usage de la torture dans son pays. Dans un entretien accordé au Monde en 1976, il justifiait ces pratiques en affirmant que ces méthodes avaient été « apprises des Européens », y compris des techniques psychologiques pour obtenir des aveux…

Pourtant, le témoignage d’Aziz sur sa torture et sa détention nous donne un rare aperçu de ce que de nombreux militants décrivent comme une époque de violations massives des droits humains en Iran – souvent éclipsée par la cruauté du régime qui lui a succédé. Elle se souvient d’un pays où la liberté d’expression n’existait pas, ce qui l’a finalement poussée, comme tant d’autres, à prendre part au mouvement qui a conduit à la révolution et à la chute du chah.

Hollie McKay interviewe Aziz Rezai
Aziz Rezai (à droite) et sa fille Fatimah, toutes deux emprisonnées par la SAVAK du chah.

Mais le gouvernement qui allait fonder la première République islamique du monde, le 11 février 1979, écrasa rapidement les espoirs d’un avenir meilleur. Le régime religieux de Rouhollah Khomeiny espérait intégrer l’OMPI dans son camp, mais l’alliance implosa rapidement.

Peu après le renversement du pouvoir, Aziz – cette figure maternelle respectée dans les milieux militants de Téhéran – fut invitée au domicile du toutpuissant ayatollah. Elle raconte que les hommes qui l’entouraient souhaitaient « se venger » du policier secret responsable de la mort de ses fils, mais qu’elle s’y opposa, exigeant un procès équitable. Khomeiny, ditelle, resta figé, impassible, sans dire un mot.

Pour Aziz et les siens, il fallut tout recommencer. Dès 1980, le nouveau régime lança une campagne d’arrestations et d’exécutions massives de membres de l’OMPI. Le 8 février 1982, sa fille Azar, âgée de 20 ans et enceinte de six mois de son premier enfant, fut tuée lors d’un raid des Gardiens de la révolution (IRGC) aux côtés de dixhuit autres personnes. Deux ans plus tard, en avril 1984, sentant la menace se resserrer, Aziz s’enfuit en Turquie, puis s’installa en Espagne, avant de rejoindre la France pour poursuivre son activisme en exil…

Mais à l’automne de sa vie, elle reste un symbole inébranlable de résistance – accrochée à l’espoir d’un véritable changement.

« Khomeiny était l’héritier du chah, et les crimes que le chah avait commencés n’étaient pas terminés. Ils ne font qu’un », affirme Aziz. « Si les puissances occidentales cessent d’aider ce régime, cessent de fermer les yeux sur ses abus à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, alors il y aura un changement. Le mouvement pour libérer l’Iran n’est pas mort. Il est fort, il est vivant, et nous avançons. »

Tags: génération égalitéle leadership des femmesViolence contre les femmes
ShareTweetPinShareEnvoyerShare

Recommandé pour vous

Mobina Zare, 20 ans, assassinée par son ex-fiancé – féminicide en Iran

November 11, 2025
Mobina Zare, 20 ans, assassinée par son ex-fiancé - féminicide en Iran

Dans un nouveau féminicide atroce sous le régime misogyne des mollahs, Mobina Zare, une jeune femme de 20 ans, a été brutalement tuée par son ex-fiancé à Eslamshahr,...

Lire la suiteDetails

Rapport de octobre 2025 : Peine de mort pour une prisonnière politique

October 31, 2025
Rapport de octobre 2025 : Peine de mort pour une prisonnière politique La résistance des prisonnières politiques inspire les femmes et les filles iraniennes dans leur lutte contre le régime des exécutions et des massacres

La résistance des prisonnières politiques inspire les femmes et les filles iraniennes dans leur lutte contre le régime des exécutions et des massacres Rapport de octobre 2025 :...

Lire la suiteDetails

Comment la parité entre les sexes est devenue le moteur du mouvement d’opposition iranien

October 22, 2025
Comment la parité entre les sexes est devenue le moteur du mouvement d’opposition iranien

La montée en puissance de Maryam Rajavi a fait de la parité entre les sexes une pierre angulaire de l’opposition iranienne, transformant une revendication sociale en outil stratégique.

Lire la suiteDetails

Maryam Radjavi ouvre la voie à la parité hommes-femmes dans un Iran libre

October 20, 2025
Maryam Radjavi entame une refonte majeure menant à un Iran libre

Maryam Radjavi ouvre la voie à la parité hommes-femmes dans un Iran libre Le 22 octobre marque l'anniversaire de l'annonce de l'élection de Maryam Radjavi comme présidente élue...

Lire la suiteDetails

Briser les obstacles : La lutte des fillettes iraniennes

October 11, 2025
Briser les obstacles : La lutte des fillettes iraniennes 11 octobre – Journée internationale de la fille

11 octobre – Journée internationale de la fille La lutte des fillettes iraniennes Chaque année, le 11 octobre, le monde célèbre la Journée internationale de la fille, une...

Lire la suiteDetails
Article suivant
Non à la peine de mort Derrière les portes closes : La condition des femmes détenues à la prison de Vakilabad

Prison de Vakilabad à Machhad : violation systématique de la dignité humaine et des droits fondamentaux des femmes détenues

Documents

Les femmes face à la crise de l’eau en Iran : santé, survie et sécurité menacées

Les femmes face à la crise de l’eau en Iran : santé, survie et sécurité menacées

October 22, 2025

...

Iran : L’échec de la loi sur la croissance démographique malgré la répression des femmes

Iran : L’échec de la loi sur la croissance démographique malgré la répression des femmes

August 26, 2025

...

Femmes veuves en Iran : Principaux problèmes et défis

Femmes veuves en Iran :  Principaux problèmes et défis

June 22, 2025

...

Bulletin mensuel

Rapport de octobre 2025 : Peine de mort pour une prisonnière politique La résistance des prisonnières politiques inspire les femmes et les filles iraniennes dans leur lutte contre le régime des exécutions et des massacres
Bulletin mensuel

Rapport de octobre 2025 : Peine de mort pour une prisonnière politique

October 31, 2025
Rapport de septembre 2025 : Tous les 4 jours, une femme est exécutée en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de septembre 2025 : Tous les 4 jours, une femme est exécutée en Iran

September 30, 2025
Rapport de août 2025 : Double répression des prisonnières politiques et de leurs familles
Bulletin mensuel

Rapport de août 2025 : Double répression des prisonnières politiques et de leurs familles

August 31, 2025
Rapport de juillet 2025 :Un crime en cours : la menace imminente d’un nouveau massacre de prisonniers politiques en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de juillet 2025 : La Menace d’un Nouveau Massacre en Iran

July 25, 2025

Articles

Journée internationale pour mettre fin à l’impunité des crimes contre les journalistes : un cri pour la justice et la liberté en Iran

Journée internationale pour mettre fin à l’impunité des crimes contre les journalistes : un cri pour la justice et la liberté en Iran

November 1, 2025

...

Le fils de Zahra Tabari à The Sun : ma mère, mon héroïne

Le fils de Zahra Tabari à The Sun : ma mère, mon héroïne, n’a pas peur de mourir

October 30, 2025

...

Maryam Radjavi entame une refonte majeure menant à un Iran libre

Maryam Radjavi ouvre la voie à la parité hommes-femmes dans un Iran libre

October 20, 2025

...

Tombées pour la liberté

Fatemeh Farshchian, une figure de la résistance iranienne
Tombées pour la liberté

Fatemeh Farshchian

September 12, 2025
Sussan Mirzaei : une pionnière de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran
Tombées pour la liberté

Sussan Mirzaei

May 2, 2025
Nosrat Ramezani
Tombées pour la liberté

Nosrat Ramezani

May 2, 2025
Ayda Rostami
Tombées pour la liberté

Ayda Rostami

December 10, 2024

A PROPOS DE NOUS

Commission des Femmes

Nous croyons que les femmes sont la force de changement. Nous croyons dans l’égalité totale entre les sexes dans les arènes politiques, sociales et économiques. Nous sommes la voix des femmes en Iran.
Nous travaillons beaucoup avec les femmes du monde entier et de maintenir un contact permanent avec les femmes en Iran. Nous nous engageons à lutter pour les droits bafoués des femmes en Iran.

CATEGORIES

  • Activités
  • Articles
  • Bibliothèque de reference
  • Bulletin mensuel
  • Communiqués
  • Conférence du 8 Mars
  • Discours de Maryam Radjavi
  • Documents
  • Femmes marquantes
  • Héroïnes enchaînées
  • Infos des Femmes
  • Les femmes dans l'histoire
  • Les femmes de la Résistance
  • podcast
  • Solidarité
  • Tombées pour la liberté
  • Vidéo

PARCOURIR PAR ETIQUETTE

coronavirus crimes d’honneur enseignantes exécution femmes chefs de famille femmes rurales génération égalité infirmières la petite fille le leadership des femmes l’écart entre les sexes Manifestations mariage précoce pauvreté Plan des libertés et des droits des femmes Prisonnières Violence contre les femmes voile obligatoire éducation

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Pas de résultat
View All Result
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Mayram Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Événements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Contactez-nous
  • Faites un don
  • English
  • فارسی
  • عربی

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.