Thursday, June 12, 2025
  • English
  • Français
  • فارسی
  • عربی
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Evénements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Evénements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
Pas de résultat
View All Result
Acceuil Articles
La révolution antimonarchique de 1979 : l'esprit inébranlable des femmes iraniennes

De gauche à droite : Ashraf Rajavi, Azam Rouhi Ahangaran, Merhnoush Ebrahimi, Fatemeh Amini, Ashraf Ahmadi (en haut) ; Marzieh Ahmadi Oskouii

La révolution antimonarchique de 1979 : l’esprit inébranlable des femmes iraniennes

February 11, 2024
dans Articles
Telegram

La révolution antimonarchique de 1979 : l’esprit inébranlable des femmes iraniennes

Commémoration des vaillantes contributions des femmes emprisonnées et torturées par le régime du chah

La révolution antimonarchique du 11 février 1979 a été un moment décisif dans l’histoire de l’Iran. Elle a marqué la fin de décennies de dictature sous le régime du chah et le début d’une nouvelle ère d’espoir pour la liberté, la démocratie et la justice sociale. Les femmes ont joué un rôle essentiel dans la révolution, influencées par les idéaux progressistes des mouvements des Moudjahidine et des Fedayins.

Malgré l’oppression brutale de la police secrète du chah, la SAVAK, ces femmes ont lutté sans relâche pour un avenir meilleur pour elles-mêmes et pour leur pays. Elles ont enduré la torture, l’emprisonnement et même la mort dans leur quête de liberté. Ces femmes courageuses ont été des symboles de résistance, inspirant les générations à venir.

Jaleh Daii, Fatemeh Amini, Ashraf Rajavi, Asharf Ahmai, Zahra Nowruzi et Massoumeh Shademani étaient parmi les nombreux prisonniers politiques sous le chah qui ont souffert aux mains de la SAVAK.

Ces femmes et leurs sacrifices nous rappellent la puissance de l’esprit humain et l’importance de la lutte pour la justice. Leur héritage continue d’inspirer les femmes d’Iran et du monde entier jusqu’à ce jour.

Jaleh Daii, ancienne prisonnière politique sous le chah

Jaleh Daii, aujourd’hui membre du mouvement d’opposition OMPI, a été emprisonnée par la police secrète du chah à l’âge de 15 ans et a été témoin du traitement horrible réservé aux prisonniers.

Jaleh a été arrêtée en 1976. On lui a couvert la tête et on l’a emmenée dans l’un des centres de détention notoires de la police secrète, connu sous le nom de Komiteh Shahrbani.

Elle a déclaré : “Je me souviens avoir montée les escaliers et traversée les couloirs. Bien que ma tête soit couverte, je pouvais voir le sol. Je pouvais voir les jambes des prisonniers qui étaient assis sur le sol et attendaient dans le couloir. Ils avaient tous été fouettés et leurs pieds et jambes étaient ensanglantés et enflammés. Certaines jambes étaient infectées jusqu’au genou”.

Jaleh a passé quelques mois dans cet endroit épouvantable, puis a été transférée dans le quartier des femmes de la prison de Qasr, où étaient détenues au moins 100 prisonnières politiques de tous âges.

Jaleh raconte : “Toutes les prisonnières sans exception avaient été torturées et fouettées. J’ai vu beaucoup d’étudiantes mineures comme moi.”

Fatemeh Amini

Fatemeh Amini

Fatemeh Amini est devenue un symbole de la lutte des femmes pour la liberté et est morte sous la torture. Fatemeh Amini a commencé ses activités politiques en tant qu’intellectuelle éprise de liberté à l’école de littérature de l’université de Machad et a rapidement formé l’Association des femmes progressistes.

Après avoir obtenu son diplôme en 1964, elle a commencé à enseigner dans des lycées de filles.

En 1970, elle se rend à Téhéran où elle fait la connaissance de l’opposition clandestine OMPI, dont elle devient rapidement membre.

La police secrète du chah a arrêté Fatemeh Amini en 1974 et l’a emmenée sous la torture.

Fatemeh a été fouettée et torturée pendant des mois. Son dos a été brûlé avec un grilloir électrique pendant de longues heures. Bien qu’elle soit devenue paralysée sous la torture, elle n’a même pas donné son nom aux interrogateurs. Elle est finalement morte sous la torture le 16 août 1975.

Sa résistance sous la torture a constitué un modèle inégalé pour les jeunes filles éprises de liberté en Iran. Après la révolution antimonarchique de 1979, des dizaines de lycées ont été baptisés de son nom.

Ashraf Rajavi

Ashraf Radjavi

Ashraf Radjavi a perdu l’ouïe suite à des tortures sauvages mais a continué à se battre pour la liberté jusqu’à ce qu’elle soit tuée par les mollahs en 1982.

Ashraf Radjavi avait obtenu une licence de physique à l’université de Téhéran. Mais son cœur allait vers les personnes démunies qui souffraient dans un pays assis sur une mer de pétrole.

Bien qu’ayant la possibilité de mener une vie agréable, elle a choisi d’aider les défavorisés.

C’est ainsi qu’elle fait la connaissance des Moudjahidines du peuple ou OMPI, une nouvelle organisation clandestine anti-chah, et qu’elle la rejoint en 1971.

Elle a été arrêtée deux fois, de 1972 à 1974 et en 1976, et a subi des tortures sauvages à cause desquelles elle a perdu l’audition d’une oreille.

Jaleh Daii explique que la première fois qu’elle a vu les cicatrices de torture sur le corps d’Ashraf Radjavi, elle n’a pas pu supporter de les voir et s’est évanouie. 

Le régime du chah a condamné Achraf à la prison à vie mais le peuple iranien l’a libérée avec le dernier groupe de prisonniers politiques le 20 janvier 1979.

Ashraf a continué sa lutte pour la liberté. Pour cette raison, les mollahs ont terminé le travail inachevé du chah. Ils ont tué Achraf Radjavi le 8 février 1982.

Ainsi, la vie et la mort d’Achraf sont devenues la tradition d’une génération de femmes de l’OMPI en Iran qui dirigent la Résistance iranienne aujourd’hui.

révolution antimonarchique

Massoumeh Shademani

Massoumeh Shademani, connue sous le nom de Mère Kabiri, était une femme pleine d’entrain qui inspirait ses codétenues malgré les tortures brutales qu’elle subissait.

Massoumeh Shademani ou Mère Kabiri faisait partie du dernier groupe de prisonniers politiques libérés des geôles du chah une dizaine de jours avant la révolution antimonarchique de 1979.

Massoumeh Shademani avait 40 ans et cinq enfants lorsqu’elle a rejoint l’OMPI. Elle a été arrêtée en 1974, et emmenée sous une torture brutale. Ses interrogateurs savaient tout de ses activités, mais elle n’a pas dit un mot sous la torture.

Jaleh dit que les jambes de Mère Kabiri ont été déformées sous la torture et qu’elle pouvait à peine marcher.

Mais Mère Kabiri était toujours pleine d’entrain et inspirait ses codétenues. Le tribunal de première instance l’a condamnée à mort, un verdict qui a ensuite été commué en prison à vie.

Elle avait passé cinq ans en prison lorsqu’elle a été libérée par le peuple iranien lors de la révolution antimonarchique de 1979.

Deux ans plus tard, Mère Kabiri a été exécutée par le régime de Khomeini.

révolution antimonarchique

Ashraf Ahmadi

Ashraf Ahmadi est une autre femme iranienne courageuse torturée par la police secrète du chah. Elle avait quatre enfants et a été détenue pendant trois ans sous le régime du chah.

Ashraf Ahmadi a commencé ses activités au sein du OMPI en 1971. Son frère aîné était un prisonnier politique. La première fois qu’elle a été arrêtée en 1975, elle était enceinte et souffrait d’un problème cardiaque. Cependant, la police secrète, la SAVAK, l’a impitoyablement torturée pour lui soutirer des informations.

Ashraf est restée forte et résistante sous la torture et elle n’a donné aucune de ses vastes informations sur les activités de l’OMPI. Elle a été condamnée à 15 ans de prison mais a été libérée trois ans plus tard, juste avant le renversement du chah.

Ashraf Ahmadi a de nouveau été arrêtée par les mollahs. Elle fait partie des 30 000 prisonniers politiques massacrés en 1988.

Zahra Nowruzi

Une autre exemple vivante de résistance héroïque sous la torture dans les prisons du chah est Zahra Nowruzi ou Mère Rezai. Elle a perdu huit enfants et beaux-parents sous les deux dictatures.

En 1975, elle et ses filles ont été arrêtées par la SAVAK, la police secrète du chah.

Mère Rezai a expliqué un jour : “Au début, ils m’ont beaucoup torturée comme mes enfants. Ils m’ont fouetté la plante des pieds de telle sorte que ma chair s’est ouverte. Mon pied gauche était pire que le droit. La dernière fois qu’ils m’ont fouetté, je n’avais plus d’énergie en moi. Ils se sont arrêtés mais un des interrogateurs a continué à me fouetter sur la tête et le cou.

“Une autre nuit, ils m’ont appelé et ont recommencé à me fouetter. Mes pieds ont commencé à saigner. Je suis tombée sur le sol et l’interrogateur a appuyé son pied sur mon dos. Puis ils m’ont suspendu à la fenêtre par les poignets et ont retiré la chaise de sous mes pieds.

“Ensuite, ils ont détaché l’un de mes poignets et m’ont laissé pendre par un poignet. Mon bras et mon poignet avaient gonflé, alors ils m’ont fait descendre et m’ont jeté dans ma cellule. Mes pieds s’étaient gravement infectés.

“J’ai passé plusieurs mois dans une cellule d’isolement et une autre année dans la prison d’Evine sans avoir de nouvelles de mes jeunes enfants. Puis ils m’ont jugée et m’ont condamnée à trois ans de prison.”

***

Ce ne sont là que quelques exemples parmi les nombreuses autres injustices commises par le régime du chah. La bravoure de ces femmes témoigne de l’impact des femmes iraniennes sur la révolution antimonarchique de 1979. Elles sont des symboles de résistance et continuent d’inspirer des générations à se battre pour la liberté, la démocratie et la justice sociale.

Au milieu des années 1970, les mères et les familles des prisonniers politiques et celles dont les fils et les filles avaient été exécutés par le chah ont formé le tout premier noyau des groupes de résistance.

Les derniers mois précédant la révolution antimonarchique de 1979 ont vu une vaste participation de jeunes femmes et de jeunes filles dans toutes les villes du pays.

Les femmes sont apparues comme une nouvelle force sérieuse dans la révolution de 1979, jouant un rôle remarquable. Elles ne pouvaient être arrêtées et étaient partout en phase avec les hommes.

L’ampleur de la participation des femmes à la Révolution de 1979 qui a renversé le chah était sans précédent dans l’histoire de l’Iran. Ce fut un grand pas en avant pour les femmes iraniennes qui ont poursuivi leur lutte désintéressée contre une dictature plus brutale sous les mollahs.

Les femmes iraniennes ont progressé au point de diriger la principale force d’opposition, l’OMPI , depuis plus de trois décennies, et d’inspirer le leadership des femmes de la révolution iranienne, aujourd’hui.

Les femmes iraniennes et le peuple iranien, en général, disent non à toutes les formes de dictature. Comme nous les avons entendus le chanter à chaque occasion en Iran et à l’étranger, “Non à l’oppresseur, qu’il s’agisse du chah ou du chef des mollahs”.

Les femmes iraniennes regardent vers l’avenir, pas vers le passé. Elles veulent une république démocratique, moderne et libre, avec la séparation de la religion et de l’État, l’égalité des sexes, pas de torture, pas d’exécutions, pas de police secrète et pas d’IRGC.

Tags: coronavirusle leadership des femmes
ShareTweetPinShareEnvoyerShare

Recommandé pour vous

Katya de Giovanni à la Journée internationale des femmes 2025 : une journée d’action, pas de réflexion

June 8, 2025
Katya de Giovanni à la Journée internationale des femmes 2025

Le samedi 22 février 2025, la Commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a organisé une conférence à l’occasion de la Journée internationale des...

Lire la suiteDetails

Sarvnaz Chitsaz : Chaque exécution en Iran est un acte politique pour préserver le pouvoir du régime

May 24, 2025
Sarvnaz Chitsaz : Chaque exécution en Iran est un acte politique

Lors d’une conférence tenue le 11 avril 2025 à la Mairie du 5e arrondissement de Paris, organisée en soutien à la campagne internationale « Non aux exécutions »...

Lire la suiteDetails

Une chronique de résilience : les femmes iraniennes face à la misogynie institutionnalisée

May 18, 2025
Données déformées, vérités dissimulées : les femmes dans l’ombre des statistiques

Un événement parallèle intitulé « L’expérience des femmes iraniennes face à la misogynie institutionnalisée » a été organisé par l’Association des Femmes Iraniennes en France (AFIF), en marge...

Lire la suiteDetails

Fatemeh Saeedi : La Mère de la Résistance, la Voix Blessée de l’Histoire

May 8, 2025
Fatemeh Saeedi : La Mère de la Résistance, la Voix Blessée de l’Histoire

Le dernier vendredi d’avril 2025, le cimetière du Père Lachaise à Paris a été le théâtre d’un adieu historique : l’ultime hommage rendu à Fatemeh Saeedi, une femme...

Lire la suiteDetails

Mahnaz Mohebatkar lors de la JIF 2025 : Construire une force unifiée pour la liberté et l’égalité

May 8, 2025
Mahnaz Mohebatkar lors de la JIF 2025 : Construire une force unifiée pour la liberté et l’égalité

Le samedi 22 février 2025, la Commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a organisé une conférence pour commémorer la Journée internationale des droits des femmes...

Lire la suiteDetails
Article suivant
Le pouvoir judiciaire iranien condamne Armita Pavir à la prison pour ses activités politiques

Le pouvoir judiciaire iranien condamne Armita Pavir à la prison pour ses activités politiques

Documents

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

April 28, 2025

...

La résistance des femmes iraniennes : Un appel mondial à la solidarité

La résistance des femmes iraniennes : Un appel mondial à la solidarité

April 17, 2025

...

CSW69, Beijing+30 – Rapport de la commission des Femmes du CNRI

CSW69, Beijing+30 – Rapport de la commission des Femmes du CNRI

April 2, 2025

...

Bulletin mensuel

Des prisonnières politiques privées de soins médicaux dans les prisons iraniennes
Bulletin mensuel

Rapport de mai 2025 : Des prisonnières politiques privées de soins médicaux dans les prisons iraniennes

May 30, 2025
Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes
Bulletin mensuel

Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes

April 30, 2025
Rapport de mars 2025 : La situation économique des femmes en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de mars 2025 : La situation économique des femmes en Iran

March 31, 2025
Rapport de janvier 2025: Les femmes à l'avant-garde des manifestations en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de janvier 2025: Les femmes à l’avant-garde des manifestations en Iran

February 4, 2025

Articles

Forte hausse du travail des enfants en Iran

Forte hausse du travail des enfants en Iran

June 10, 2025

...

Émigration des infirmières : comment le régime iranien en déclin transforme un exode en propagande

Émigration des infirmières : comment le régime iranien en déclin transforme un exode en propagande

June 6, 2025

...

comment le système juridique iranien permet les violences fondées sur le genre

Impasse bureaucratique et apathie judiciaire : comment le système juridique iranien permet les violences fondées sur le genre

June 4, 2025

...

Tombées pour la liberté

L’évasion spectaculaire de huit femmes de la prison de Dizel Abad
Tombées pour la liberté

L’évasion spectaculaire de huit femmes de la prison de Dizel Abad

June 4, 2025
Le secret du père de Mina Asgari
Tombées pour la liberté

Le secret du père de Mina

May 14, 2025
Sussan Mirzaei : une pionnière de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran
Tombées pour la liberté

Sussan Mirzaei

May 2, 2025
Nosrat Ramezani
Tombées pour la liberté

Nosrat Ramezani

May 2, 2025

A PROPOS DE NOUS

Commission des Femmes

Nous croyons que les femmes sont la force de changement. Nous croyons dans l’égalité totale entre les sexes dans les arènes politiques, sociales et économiques. Nous sommes la voix des femmes en Iran.
Nous travaillons beaucoup avec les femmes du monde entier et de maintenir un contact permanent avec les femmes en Iran. Nous nous engageons à lutter pour les droits bafoués des femmes en Iran.

CATEGORIES

  • Activités
  • Articles
  • Bibliothèque de reference
  • Bulletin mensuel
  • Communiqués
  • Conférence du 8 Mars
  • Discours de Maryam Radjavi
  • Documents
  • Infos des Femmes
  • Les femmes de la Résistance
  • podcast
  • Tombées pour la liberté
  • Vidéo

PARCOURIR PAR ETIQUETTE

coronavirus crimes d’honneur enseignantes exécution femmes chefs de famille femmes rurales génération égalité infirmières la petite fille le leadership des femmes l’écart entre les sexes Manifestations mariage précoce pauvreté Plan des libertés et des droits des femmes Prisonnières Violence contre les femmes voile obligatoire éducation

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Pas de résultat
View All Result
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Mayram Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Événements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Contactez-nous
  • Faites un don
  • English
  • فارسی
  • عربی

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.