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record mondial de la violence domestique contre les femmes

Iran : record mondial de la violence domestique contre les femmes – nouveau rapport

December 4, 2020
dans Articles
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CNRI Femmes – L’Iran détient le record mondial de la violence domestique contre les femmes. Traiter les cas de violence domestique et les plaintes à ce sujet n’est pas une tâche facile, même dans des circonstances où la loi, la famille et les institutions soutiennent les femmes.

En Iran, la situation est pire, notamment en raison des lacunes juridiques qui négligent les droits fondamentaux  des femmes, y compris le droit d’être à l’abri de la violence.

Les 9 années de retard du régime iranien dans l’adoption du projet de loi visant à mettre fin à la violence contre les femmes en Iran, ont finalement créé un désastre. L’Iran détient le record mondial de la violence domestique contre les femmes, selon les experts et les médias officiels.

Données des années précédentes

Les aveux symboliques du régime sur la montée de la violence contre les femmes en Iran ont commencé en 2018.

Entre autres, Reza Jafari, responsable des urgences sociales du régime, a déclaré : “La violence domestique contre les femmes en Iran a connu une augmentation de 20% entre mars 2017 et mars 2018” (Agence IRNA, 18 juillet 2018).

Par la suite, Fatemeh Ghassempour, directrice du Centre de recherche sur les femmes et la famille à Téhéran, a annoncé : « 66% des femmes iraniennes subissent des violences domestiques au cours de leur vie. » (Agence ISNA, 16 novembre 2018).

Bien que le chiffre donné représente le double de la moyenne mondiale d’une femme sur trois (soit 33%), il s’agit évidemment d’une atténuation de la réalité.

L’année dernière, le site Borna.news a publié un rapport le 13 octobre 2019, indiquant que « dans notre pays, sur 20 femmes, une est exposée à la violence domestique de son mari. Mais moins de 35 % des cas de violence domestique sont signalés à la police ou aux urgences sociales”.

Amanollah Qara’i-Moghaddam, sociologue, a déclaré à Borna.news : « Il y a quelque temps, le président de l’Association d’aide sociale a annoncé que 40 % des violences domestiques dans le monde arrivent dans notre pays (…) La violence domestique sexuelle est la pire forme de violence domestique. »

Selon le dernier rapport d’Abbas Majedi-Arani, chef du bureau général de la médecine légale, 85.420 femmes ont déposé l’année dernière des plaintes auprès des médecin légistes contre leur mari violent. (aasoo.org, 30 juin 2020).

Une femme sur vingt est exposée à la violence domestique de son mari. Mais moins de 35 % des cas sont signalés.

L’Iran détient le record mondial de violences domestiques

Mohammad Reza Mahboubfar, l’un des experts du régime en matière de maux sociaux, a récemment publié un article dénonçant : « L’Iran détient le record mondial de la violence domestique (contre les femmes) »

Selon l’article publié par Jahanesanat.ir le 19 novembre 2020 : « Aujourd’hui, le pays est plongé dans les maux sociaux et aucun foyer n’est sûre en Iran. »

Mahboubfar blâme la mauvaise gestion du gouvernement pour l’aggravation de la violence domestique contre les femmes. « Les conséquences de la mauvaise gestion et de l’incapacité des organes gouvernementaux à gérer et à contenir la maladie, en plus de leur manque de capacité à contrôler les conséquences économiques et sociales du coronavirus, ont conduit à de super crises économiques et sociales en 2020, notamment des prix élevés, l’inflation, la récession économique, le chômage généralisé et l’augmentation des maux sociaux. La lutte croissante dans les familles a débordé dans la société. Elle est considérée comme la plus importante crise sociale et sécuritaire de nos jours. Cela a gravement préoccupé tous les sociologues et experts en comportement social.”

Dans une révélation choquante, Mahboubfar a souligné : « Moins de trois mois depuis le début de l’année 1399 (année persane), c’est-à-dire d’avril à juin 2020, les chiffres sur la violence dans le pays ont dépassé le total de toutes les années passées”.

Même si le projet de loi visant à assurer la sécurité des femmes est adopté et appliqué, il est incapable d’arrêter le cycle de la violence dans le pays, car les motifs de ces crimes et meurtres existent toujours dans les secteurs économique et juridique du pays.

Trois fois plus de violences domestiques contre les femmes  

La violence domestique en Iran est devenue une plaie ouverte qui doit être soignée. La loi doit criminaliser la violence domestique et punir les agresseurs. Il faut également mettre en place des institutions qui soutiennent les femmes victimes de violence.

En l’absence de tout ce qui précède, les chiffres sur la violence domestique sous forme de coups et de meurtres de femmes et de jeunes filles dans le pays ont connu une hausse drastique.

Mahboubfar le note dans son rapport : « Le nombre le plus élevé de meurtres en 2016 est celui des crimes d’honneur. Après quatre ans, les institutions de la République islamique n’ont toujours pas pris les mesures nécessaires et n’ont pas adopté de lois pour soutenir la sécurité des femmes dans la famille et dans la société. L’application de la loi contre les crimes d’honneur est telle qu’aujourd’hui, les hommes ont toute latitude pour perpétrer des violences physiques, verbales et psychologiques contre les filles et les femmes dans leur famille. En s’appuyant sur les lois existantes, dominées par les hommes, qui leur accordent l’immunité contre la peine maximale, ils commettent tout crime et tout meurtre. »

La violence domestique est dirigée d’abord contre les enfants et ensuite contre les femmes.

La violence contre les enfants a été multipliée par cinq et la violence contre les femmes par trois. Cette violence varie des coups au meurtre.

Une femme rurale de 22 ans a été battue par son mari de 80 ans à coups de bâton brûlant.

Augmentation choquante des crimes d’honneur 

Dans le passé, les provinces les plus touchées par la violence domestique contre les femmes étaient le Kurdistan, l’Azerbaïdjan, le Lorestan, l’Ilam, le Kermanchah, le Khouzistan et le Sistan-Baloutchistan.

Ispahan, Kerman, Yazd et Qom étaient les provinces où la violence était la plus faible. Aujourd’hui, cependant, la violence en Iran est devenue omniprésente dans tout le pays et il est impossible de tracer une ligne géographique.

Nahid Tajeddine, membre de la faction féminine au Parlement des mollahs, a déclaré que pendant l’épidémie, la violence domestique contre les femmes à Ispahan avait augmenté de 26% par rapport à la même période de l’an dernier. (www.borna.news, 13 octobre 2019)

Les informations en provenance des provinces d’Ispahan, d’Alborz, du Golestan, d’Ilam et de Khorassan du nord indiquent également que le nombre d’appels aux Urgences sociales a été multiplié de 10 à 50 depuis le début de la pandémie COVID-19. La plupart de ces contacts sont liés à la maltraitance des enfants, aux violences conjugales et à la violence contre les personnes handicapées. (aasoo.org, 30 juin 2020)

Mahboubfar écrit dans son rapport : « Les chiffres précédents sur les crimes d’honneur en Iran n’ont jamais été complets, transparents ou exacts. Les institutions et organisations qui s’occupent de ces chiffres, comme les urgences sociales et la police, n’ont pas accès aux données et aucun chiffre officiel n’a été annoncé à cet égard. Les chiffres précédents indiquaient un nombre maximum de 450 cas de crimes d’honneur dans le pays chaque année. »

Le rapport poursuit : « Dans le passé, les crimes d’honneur se déroulaient davantage dans les provinces à structure tribale, et le Khouzistan, le Kurdistan, l’Ilam, le Sistan-Baloutchistan étaient les plus nombreux. Aujourd’hui, les situations culturelles, juridiques, politiques, sociales et économiques contribuent fortement à la violence contre les femmes. Les crimes d’honneur sont en augmentation plus que jamais. Les crimes d’honneur dans le pays ont récemment connu une croissance significative par rapport à la même période l’année dernière, et les meurtres familiaux arrivent en tête des crises du pays. On estime qu’au moins 8 meurtres ont lieu chaque jour en Iran. »

Mahboubfar révèle ensuite de façon choquante : « La poursuite de cette tendance pourrait faire passer la moyenne de 450 meurtres d’honneur par an à 2736 cas en 2020. »

Cas spécifiques des femmes battues

La loi est censée protéger les droits des gens partout, mais l’application des lois s’arrêtent à la porte de la maison. Les expériences de certaines femmes sont assez révélatrices des lois des mollahs et des forces d’application de ces lois en matière de violence domestique.

Une jeune femme qui avait été gravement battue par son fiancé, a déclaré que le tribunal avait exonéré l’agresseur en raison de « preuve insuffisante ». Elle a déclaré que l’acte d’accusation contenait toutes les preuves, mais le tribunal n’a pas accepté les documents délivrés par l’hôpital ou la police.

« Quand mon avocat a parlé de soumettre les documents, le tribunal lui a dit de les envoyer par la poste plutôt que de les remettre en main propre. En réponse à ses requêtes par écrit, le tribunal a dit qu’il obtiendra les documents lui-même s’il le jugera nécessaire. Il est apparu que mon affaire n’avait aucune importance pour le tribunal pour qu’il tente d’obtenir des preuves de cette violence », a-t-elle déclaré. (Aasoo.org, 30 juin 2020)

Mona a vécu une expérience similaire. « Quand il m’a frappée pour la première fois, se souvient-elle, j’ai été choquée, mais j’ai immédiatement contacté le 110 (police d’urgence). Quand la police est arrivée, elle m’a dit : “Nous ne pouvons pas entrer chez vous. Vous devez descendre”. J’ai dit à la police que mon mari s’enfuirait si j’ouvrais la porte. Mais la police m’a dit : “Comment pouvons-nous savoir que vous dites la vérité ? “

« Mon mari m’a cassé le bras, m’a fracturé un doigt et je saignais. J’avais la tête enflée, et la lèvre déchirée qui saignait. J’avais aussi une éraflure près de l’œil. J’ai dit à la police de venir voir ma situation et le mur contre lequel il m’avait frappé la tête. Les agents m’ont dit : “Non, nous n’avons pas le droit d’entrer dans la maison et de venir à votre étage. Vous devez descendre”.

« Quand j’ai déposé plainte, j’ai demandé à la police de signer comme témoin, mais l’agent a dit : “Je ne l’ai pas vu vous battre”. Les voisins non plus n’interviennent généralement pas et ne témoignent pas. La police n’a pas arrêté mon mari, même temporairement. J’ai eu de la chance que mon frère vienne à mon secours. En tout cas, j’ai porté plainte et le lendemain, je suis allée à la médecine légale avec mon frère. Le médecin m’a écrit que je devais recevoir 2 % du prix total du sang [le dédommagement dans les lois médiévales des mollahs] et m’a prescrit un traitement de 30 jours. » (Aasoo.org, 30 juin 2020)

Sara, directrice d’une société de programmation informatique, après plusieurs années de violence persistante, a contacté la police et lui a parlé du calvaire qu’elle subissait. « La police m’a dit qu’elle n’interviendrait pas dans les querelles familiales à moins qu’il n’y ait des passages à tabac. J’ai dit oui, j’ai été battue. Il m’a battue. Puis ils m’ont demandé : “Avez-vous le rapport de la médecine légale ? ” Je ne l’avais pas eu. Ils m’ont répondu : “Nous ne pouvons pas donner suite de cette façon.” J’ai dit que ce n’était pas la première fois et je leur ai demandé s’ils ne pouvaient pas faire quelque chose ? Ils m’ont répondu : “Avez-vous des témoins ? ” Mais je n’en avais pas.  

M. a 33 ans et elle est titulaire d’un doctorat en sciences politiques. Elle raconte son calvaire : « Si vous êtes battue, vous devez contacter les Urgences sociales, car seul leur rapport est considéré comme une preuve, sinon lorsque vous déposez plainte, comme vous n’avez pas deux témoins masculins, l’agresseur est disculpé. Même si vous montrez l’attestation de la médecine légale, avec des photos et des documents, ils ne sont pas suffisants pour condamner l’agresseur. »

En l’absence de chiffres officiels sur la violence domestique, les rapports publiés par la médecine légale font partie des rares statistiques documentées à cet égard. Mais même ce rapport n’est pas accepté par les autorités judiciaires pour condamner le mari violent ou accepter la demande de divorce d’une femme.

Seulement 34 refuges pour femmes battues

Il n’existe que 34 refuges sûrs dans les capitales provinciales du pays. Et même dans ces refuges limités, les conditions d’accueil des femmes battues sont difficiles.

L’adjoint aux affaires sociales de l’Organisation d’aide sociale déclare à ce sujet : « les femmes peuvent venir avec leurs filles et leurs fils de moins de 8 ans. Mais si leurs fils ont plus de 8 ans, ils seront envoyés dans des centres pour enfants des rues ou des centres pseudo-familiaux. » (Site behzisti.ir – 30 décembre 2019)

En conséquence, de mars à août 2019, seules 2 000 des 10 000 femmes qui ont contacté le numéro d’urgence sociale 123 ont été admises dans des refuges sûrs dans tout le pays.

Azam a porté plainte devant le tribunal contre son mari violent mais a été renvoyée chez elle pour y être torturée pendant 21 jours.

La violence psychologique ne serait pas une « violence »

La violence domestique n’est pas criminalisée dans les lois actuelles en Iran. Les textes législatifs considèrent la violence domestique au même titre que les autres formes de violence. La loi ne s’occupe que de la violence physique.

Alef, un avocat de Téhéran, déclare : « Le pouvoir judiciaire ne considère pas la violence domestique comme un crime. Lorsqu’un mari commet des violences contre sa femme, l’approche du ministère de la Justice iranien est de conclure l’affaire en paix et de sauvegarder la vie conjugale du couple. »

« Principalement, la violence psychologique n’est pas reconnue en Iran. Et tant que la violence n’a pas de preuves et de signes évidents, la loi ne l’examinera pas. » (Aasoo.org, 30 juin 2020)

Pour le Centre de réduction des préjudices sociaux, une ONG active dans les quartiers dangereux de Téhéran qui donne refuge aux femmes battues, il existe un réel problème. Comme les femmes mariées sont légalement tenues d’obéir à leur mari, l’ONG n’a pas le pouvoir de les tenir éloignées de leur mari et doit les laisser rentrer chez elles si les maris les poursuivent. (Aasoo.org, 30 juin 2020)

Tags: Violence contre les femmes
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