Monday, May 12, 2025
  • English
  • Français
  • فارسی
  • عربی
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Evénements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Evénements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
Pas de résultat
View All Result
Acceuil Articles
Le massacre de 1988, le plus grand crime contre l'humanité resté impuni

Le massacre de 1988, le plus grand crime contre l’humanité resté impuni

August 5, 2021
dans Articles
Telegram

CNRI Femmes – Les derniers jours de juillet de chaque année marquent l’anniversaire du déclenchement du massacre de 30 000 prisonniers politiques en Iran durant l’été 1988 sur un décret de Khomeiny, décrit comme le pire crime contre l’humanité resté impuni depuis la Seconde Guerre mondiale, un crime que le peuple iranien « ne pardonne, ni n’oublie ».

La dernière liste des victimes établie indique que ce massacre s’est déroulé dans au moins 110 villes. Les tueries les plus intenses ont commencé dans les prisons d’Evine et de Gohardacht et visaient spécifiquement les membres de l’organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK).

Des rafles politiques ont également été lancées à travers le pays juste après l’annonce du cessez-le-feu dans la guerre Iran-Irak, allant jusqu’à 10.000 arrestations.

Une autre partie du massacre a été les procès minutes des partisans de l’OMPI dans l’ouest de l’Iran ainsi que de jeunes, hommes et femmes, qui s’étaient rendus dans les régions occidentales pour aider l’OMPI.

La dirigeante de l’opposition iranienne Maryam Radjavi a déclaré que ce massacre est « une rencontre sanglante entre le Moyen Age et les générations futures, les générations qui ont engendré la révolution de 1979, qui ont représenté une nation engagée à fonder une société libre et égale ».

Les autorités iraniennes ont refusé de dire aux familles où se trouvaient les tombes des exécutés. Elles ont aussi détruit de nombreuses fosses communes. Bien que l’emplacement de leurs tombes ne soit pas connu, le souvenir de ces victimes innocentes continuent de vivre dans le cœur de millions d’Iraniens.

 

Le massacre de 1988

Geoffrey Robertson QC, ancien juge à la cour spéciale de l’ONU pour le Sierra Leone et avocat renommé dans le domaine des droits humains, qui a enquêté sur ce crime contre l’humanité, décrit le massacre de cette manière :

Fin juillet 1988, alors que la guerre avec l’Irak se terminait, les prisons iraniennes, qui étaient pleines d’opposants, se sont soudain fermées.

Toutes les visites des familles ont été annulées, la télévision et les radios éteintes. Les prisonniers étaient gardés dans leurs cellules, n’étaient pas autorisés à faire de l’exercice ou à se rendre à l’hôpital.

La seule visite autorisée était celle d’une délégation, enturbannée et barbue, qui venait dans des BMW noires du gouvernement. Un juge religieux, un procureur et un chef des services de renseignements.

Devant eux défilaient brièvement et individuellement presque tous les prisonniers, puis des milliers d’entre eux qui étaient emprisonnés pour leur adhésion à l’OMPI.

La délégation n’avait qu’une seule question à poser à ces jeunes femmes et hommes, pour la plupart détenus depuis 1981, simplement pour avoir participé à des manifestations de rue ou pour avoir été en possession de lecture politique. Et bien qu’ils ne le sachent pas, de leur réponse dépendra leur vie. Ceux qui (ont confirmé leur) affiliation continue avec l’OMPI ont eu les yeux bandés et reçu l’ordre de rejoindre une ligne qui menait directement à la potence.

Ils étaient suspendus à des grues 4 à la fois, ou par groupes de 6, à des cordes suspendues à l’avant de la scène de la salle de réunion. Certains étaient emmenés la nuit dans des casernes, on leur demandait de faire leur testament, puis on les fusillait au peloton d’exécution. Leurs corps étaient aspergés de désinfectant, emballés dans des camions frigorifiques et enterrés la nuit dans des fosses communes.

Des mois plus tard, leurs familles, désespérées d’obtenir des informations sur leurs enfants, se voyaient remettre un sac en plastique contenant leurs quelques biens. On leur refusait toute information sur l’emplacement des tombes et on leur ordonnait de ne jamais les pleurer en public. À la mi-août 1988, des milliers de prisonniers avaient été tués de cette manière par l’État. Sans procès, sans appel et totalement sans pitié.

 

La résistance inspirée des jeunes femmes

La résistance inspirée des jeunes femmesDans la fièvre de ce carnage, dans l’un des quartiers de la prison d’Ahvaz, deux mollahs sanguinaires du nom de Jazayeri et Abdollahi ont crié : « Vous devez choisir. Khomeiny est d’un côté et Massoud Radjavi (le dirigeant de la Résistance iranienne) de l’autre. De quel côté êtes-vous ?”

Du bout du couloir, une jeune femme a crié : « Vive Massoud, à bas Khomeiny ! » Il s’agissait de Sakineh Delfi, 26 ans, une héroïne d’Abadan.

En l’entendant crier, les gardiens de la révolution se sont rués sur elle et l’ont rouée de coups. Le lendemain matin, 349 des 350 détenues de ce quartier ont été pendues.

Les victimes étaient jeunes, pleines d’énergie, éduquée, fières, belles et désintéressées, qui affrontaient courageusement les despotes au pouvoir. Beaucoup d’entre elles avaient fini de purger leur peine. Elles ont défendu la liberté et incarné la dignité de la nation iranienne.

On sait que les prisonnières, étaient fermes et résilientes et qu’elles inspiraient la résistance tout en sachant qu’elles devaient passer par l’horrible expérience du viol avant d’être pendus. Mais elles ont dit “NON” aux bourreaux.

Un crime contre l’humanité resté impuni

Selon Geoffrey Robertson, « le meurtre de prisonniers est le pire de tous les crimes de guerre ; il existe depuis des centaines d’années. Le prisonnier est totalement à la merci de l’État. C’est pourquoi le droit international, depuis le XVe siècle, accorde une protection spéciale aux prisonniers de guerre (…) Le code de la liberté de 1863, en Amérique, le code de guerre américain, a rendu absolument criminel le fait de tuer un prisonnier qui s’est rendu. Les conventions de Genève de 1949, base du droit international, font du meurtre d’un prisonnier un crime international. »

Ancien juge de l’ONU et président du tribunal du Sierra Leone, M. Robertson, a déclaré : « Il y a eu trois exemples odieux et hideux depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le premier est celui de l’armée japonaise qui, en 1946, a fait marcher à la mort 7 000 soldats américains. Qu’est-il arrivé aux commandants japonais qui ont ordonné ce crime ? Ils ont été jugés, et ils ont été condamnés, et ils ont été exécutés.

Le deuxième exemple est celui de Srebrenica, en 1992, où 7 000 hommes et garçons musulmans ont été tués. Qu’est-il arrivé aux commandants qui ont donné les ordres, à Milošević et à Karadzic ? Ils sont actuellement en procès à La Haye. Ils ont été punis et le seront encore.

Le troisième, le pire exemple, s’est produit en 1988, lorsque des milliers et des milliers de prisonniers qui étaient membres de l’OMPI, puis des athées, des communistes et des libéraux. Des gens qui étaient en prison pour leur opinion politique, beaucoup d’entre eux avaient purgé leur peine ; ils avaient été arrêtés en 1981 et étaient en prison alors qu’ils avaient fini leur peine ; ils ont été tués, de façon monstrueuse, et cet acte terrible n’a jamais été puni. »

 

Mettre fin à l’impunité

Le régime en Iran s’est abstenu de publier les informations et les détails du massacre des prisonniers politiques de 1988 et s’est gardé à l’abri de toute responsabilité internationale.

Les auteurs de ce crime contre l’humanité, profondément impliqués dans le massacre sanglant de prisonniers innocents, occupent de hautes fonctions dans le pouvoir.

Les plus hauts responsables de ce crime et membres des commissions de la mort font partie des hauts responsables qui dirigent ce régime, notamment le président de la Cour suprême et le chef du pouvoir judiciaire et le ministre de la Justice. Tous restent impuni.

Un certain nombre d’entre eux, dont le guide suprême des mollahs, Ali Khamenei, sont d’ardent défenseur du massacre de 1988. Ils disent même qu’ils en sont fiers. Et pourtant, ils jouissent de l’impunité.

Dans un rapport publié en décembre 2018, Amnesty International s’est penchée sur le massacre de 1988 : « L’Iran est confronté à une crise d’impunité (…) La succession des atrocités en Iran est inextricablement liée à l’impunité dont ont bénéficié les autorités iraniennes. »

Morgan Ortagus, la porte-parole du Département d’Etat américain, dans un message vidéo sur Twitter, a récemment déclaré : “L’Iran est confronté à une crise d’impunité : Le 19 juillet marque l’anniversaire du début des soi-disant commissions de la mort en Iran sur ordre de l’ayatollah Khomeiny. Ces commissions auraient fait disparaître par la force et exécuté extrajudiciairement des milliers d’opposants prisonniers politiques. L’actuel chef du pouvoir judiciaire iranien et l’actuel ministre de la justice ont tous deux été identifiés comme d’anciens membres de ces commissions de la mort. Le système judiciaire iranien est largement perçu comme manquant d’indépendance et de garanties de procès équitable. Et les tribunaux révolutionnaires sont particulièrement connus pour ordonner des violations des droits humains. Tous les responsables iraniens qui commettent des violations ou des abus des droits humains devraient être tenus responsables. Les Etats-Unis appellent la communauté internationale à mener des enquêtes indépendantes et à faire en sorte que les victimes de ces horribles violations des droits humains, organisées par le régime iranien, rendent des comptes et obtiennent justice. »

 

Le temps de demander des comptes

Le temps est venu pour la communauté internationale de mettre fin à trois décennies d’impunité pour les dirigeants du régime clérical en Iran et de les tenir responsables de leurs crimes.

Le temps est venu de soumettre le dossier des violations des droits humains en Iran, en particulier les exécutions des années 1980 et le massacre de 1988, au Conseil de sécurité des Nations unies.

Le temps est venu pour Khamenei et ses complices de faire face à la justice pour avoir commis des crimes contre l’humanité.

Le temps est venu pour les Nations Unies de lancer une mission internationale d’enquête sur le massacre de 1988 en Iran.

Comment le monde peut-il tolérer de siéger aux Nations unies aux côtés de ceux qui sont directement impliqués dans le massacre de dizaines de milliers de prisonniers ? Comment peut-il négocier et commercer avec eux ? C’est une parodie de droits humains.

 

Tags: exécution
ShareTweetPinShareEnvoyerShare

Recommandé pour vous

Une femme exécutée à la prison de Ghezel Hessar, à Karadj

May 3, 2025
Une femme exécutée à la prison de Ghezel Hessar, à Karadj

Aux premières heures du jeudi 1er mai 2025, une femme nommée Saghar a été exécutée à la prison de Ghezel Hessar, à Karadj. Saghar, résidente de Kamalchahr (Karadj),...

Lire la suiteDetails

Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes

April 30, 2025
Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes

De Vakilabad à Evin : Le sinistre record d’exécutions de femmes Monthly April 2025_FRDownload L’exécution de cinq femmes en avril : un nouveau sommet de violence contre les...

Lire la suiteDetails

Marjan Sabzi exécutée à la prison de Dastgerd, à Ispahan

April 28, 2025
Marjan Sabzi exécutée à la prison de Dastgerd, à Ispahan

La peine de mort de Marjan Sabzi, une prisonnière originaire de Khorramabad, a été exécutée le lundi matin 28 avril 2025 à la prison de Dastgerd, à Ispahan....

Lire la suiteDetails

Une femme exécutée pour cause de pauvreté : Marziyeh Esmaeili pendue à la prison de Qazvin

April 19, 2025
Marziyeh Esmaeili pendue à la prison de Qazvin

Le 15 avril 2025, Marziyeh Esmaeili, une femme de 39 ans et mère d'une petite fille, a été exécutée à la prison centrale de Qazvin sur la base...

Lire la suiteDetails

La famille de Hamid Hossein-Nejad Heydaranlou lance une protestation contre la peine de mort devant la prison centrale d’Ourmia

April 19, 2025
La famille de Hamid Hossein-Nejad Heydaranlou lance une protestation contre la peine de mort devant la prison centrale d’Ourmia

Depuis jeudi soir, la famille de Hamid Hossein-Nejad Heydaranlou, un kulbar (porteur frontalier) kurde condamné à mort, mène une protestation contre la peine de mort devant la prison...

Lire la suiteDetails
Article suivant
Quatre prisonnières politiques de la prison de Qarchak menacées de mort

Quatre prisonnières politiques de la prison de Qarchak menacées de mort

Documents

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

April 28, 2025

...

La résistance des femmes iraniennes : Un appel mondial à la solidarité

La résistance des femmes iraniennes : Un appel mondial à la solidarité

April 17, 2025

...

CSW69, Beijing+30 – Rapport de la commission des Femmes du CNRI

CSW69, Beijing+30 – Rapport de la commission des Femmes du CNRI

April 2, 2025

...

Bulletin mensuel

Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes
Bulletin mensuel

Rapport de avril 2025 : Le sinistre record d’exécutions de femmes

April 30, 2025
Rapport de mars 2025 : La situation économique des femmes en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de mars 2025 : La situation économique des femmes en Iran

March 31, 2025
Rapport de janvier 2025: Les femmes à l'avant-garde des manifestations en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de janvier 2025: Les femmes à l’avant-garde des manifestations en Iran

February 4, 2025
Rapport de décembre 2024 : Statistiques choquantes sur les exécutions de femmes en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de décembre 2024 : Statistiques choquantes sur les exécutions de femmes en Iran

December 31, 2024

Articles

Le Visage Féminisé de la Pauvreté en Iran : Comment les Femmes Portent le Fardeau le Plus Lourd

Le Visage Féminisé de la Pauvreté en Iran : Comment les Femmes Portent le Fardeau le Plus Lourd

May 11, 2025

...

Fatemeh Saeedi : La Mère de la Résistance, la Voix Blessée de l’Histoire

Fatemeh Saeedi : La Mère de la Résistance, la Voix Blessée de l’Histoire

May 8, 2025

...

Féminicides en Iran : Au Moins 21 Femmes Tuées en 24 Jours

Vague Dévastatrice de Féminicides en Iran : Au Moins 21 Femmes Tuées en 24 Jours

May 6, 2025

...

Tombées pour la liberté

Sussan Mirzaei : une pionnière de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran
Tombées pour la liberté

Sussan Mirzaei

May 2, 2025
Nosrat Ramezani
Tombées pour la liberté

Nosrat Ramezani

May 2, 2025
Ayda Rostami
Tombées pour la liberté

Ayda Rostami

December 10, 2024
Ashraf Nikbakht
Tombées pour la liberté

Ashraf Nikbakht

November 20, 2024

A PROPOS DE NOUS

Commission des Femmes

Nous croyons que les femmes sont la force de changement. Nous croyons dans l’égalité totale entre les sexes dans les arènes politiques, sociales et économiques. Nous sommes la voix des femmes en Iran.
Nous travaillons beaucoup avec les femmes du monde entier et de maintenir un contact permanent avec les femmes en Iran. Nous nous engageons à lutter pour les droits bafoués des femmes en Iran.

CATEGORIES

  • Activités
  • Articles
  • Bibliothèque de reference
  • Bulletin mensuel
  • Communiqués
  • Conférence du 8 Mars
  • Discours de Maryam Radjavi
  • Documents
  • Infos des Femmes
  • Les femmes de la Résistance
  • Tombées pour la liberté
  • Vidéo

PARCOURIR PAR ETIQUETTE

coronavirus crimes d’honneur education enseignantes exécution femmes chefs de famille femmes rurales génération égalité infirmières la petite fille le leadership des femmes l’écart entre les sexes Manifestations mariage précoce pauvreté Plan des libertés et des droits des femmes Prisonnières Violence contre les femmes violences basées sur le genre voile obligatoire éducation

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Pas de résultat
View All Result
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Mayram Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Événements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • Contactez-nous
  • Faites un don
  • English
  • فارسی
  • عربی

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.