Wednesday, October 8, 2025
  • English
  • Français
  • فارسی
  • عربی
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
    • Héroïnes enchaînées
    • Femmes marquantes
    • Les femmes dans l’histoire
  • Evénements
    • Activités
    • Solidarité
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Maryam Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
    • Héroïnes enchaînées
    • Femmes marquantes
    • Les femmes dans l’histoire
  • Evénements
    • Activités
    • Solidarité
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Faites un don
  • Contactez-nous
Pas de résultat
View All Result
Commission des Femmes
Pas de résultat
View All Result
Acceuil Articles
Amnesty International. Deux ans après le soulèvement « Femme, Vie, Liberté », l’impunité prévaut pour les crimes commis

Amnesty International. Deux ans après le soulèvement « Femme, Vie, Liberté », l’impunité prévaut pour les crimes commis

September 14, 2024
dans Articles
Telegram

À l’occasion du deuxième anniversaire du soulèvement de 2022 en Iran, déclenché par la mort en détention de Mahsa Jina Amini, Amnesty International a publié, le 11 septembre 2024, un rapport détaillé dont le texte intégral figure ci-dessous :

La population iranienne continue de vivre sous le joug de la répression brutale qu’exercent les autorités contre le soulèvement « Femme, Vie, Liberté », dans un climat d’impunité systématique pour les crimes de droit international, a déclaré Amnesty International le 11 septembre 2024, à l’approche du deuxième anniversaire du mouvement de contestation qui a amené le peuple iranien à se lever contre des décennies d’oppression et de discrimination fondée sur le genre.

Aucune enquête pénale efficace, impartiale et indépendante n’a été menée sur les graves violations des droits humains et les crimes de droit international commis par les autorités iraniennes pendant et après les manifestations nationales de septembre-décembre 2022, y compris l’utilisation massive et illégale de la force et des armes à feu par les forces de l’ordre. Elles ont tiré avec des fusils d’assaut, des fusils chargés de plombs métalliques et des grenades lacrymogènes, et roué les manifestant·e·s de coups de matraques, se rendant ainsi responsables de nombreuses blessures invalidantes et de l’homicide illégal de centaines de manifestant·e·s et de passant·e·s, dont de nombreux mineur·e·s. Les autorités s’efforcent de réduire au silence les familles des victimes d’homicides illégaux en quête de vérité et de justice, par le biais de détentions arbitraires, de poursuites iniques, de menaces de mort et d’un harcèlement acharné.

Depuis deux ans, l’offensive contre les droits humains a redoublé d’intensité : les autorités mènent « une guerre contre les femmes et les filles », répriment de plus en plus violemment celles qui défient les lois draconiennes sur le port obligatoire du voile et prononcent un nombre croissant de condamnations à mort pour faire taire la dissidence.

« L’anniversaire du mouvement ” Femme, Vie, Liberté ” rappelle avec force que de très nombreux Iranien·ne·s continuent de subir les conséquences de la répression brutale du pouvoir. Les victimes et leurs familles n’ont toujours pas obtenu vérité, justice ni réparation pour les crimes de droit international et les graves violations des droits humains commis par les représentants de l’État pendant et après le mouvement, a déclaré Diana Eltahawy, directrice adjointe pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à Amnesty International.

« Depuis deux ans, les autorités iraniennes mènent une campagne de propagande faite de dénégations et de déformations pour dissimuler les preuves de leurs crimes et tenter d’intimider les victimes et leurs familles en vue de les faire taire. En l’absence de toute perspective d’enquêtes indépendantes et impartiales au niveau national, les États doivent ouvrir des enquêtes pénales sur les crimes imputables aux autorités iraniennes par l’intermédiaire de leurs propres parquets, en vertu du principe de compétence universelle. »

Amnesty International. Deux ans après le soulèvement « Femme, Vie, Liberté », l’impunité prévaut pour les crimes commis

La « guerre contre les femmes » s’intensifie

Dans le cadre de leur acharnement visant à écraser le puissant mouvement de défense des droits des femmes contre le port obligatoire du voile, qui a pris de l’ampleur au lendemain de la mort en détention de Mahsa/Jina Amini, et le mouvement « Femme, Vie, Liberté », les autorités iraniennes ont lancé une nouvelle campagne nationale baptisée « Plan Noor » en avril 2024. Depuis, on constate une nette augmentation, dans les lieux publics, du nombre de patrouilles de sécurité à pied, à moto, en voiture et en fourgon de police chargées de veiller à l’application du port obligatoire du voile.

Cette répression se caractérise par de dangereuses courses-poursuites en voiture pour arrêter les conductrices sur la route, des saisies massives de véhicules, des peines d’incarcération, ainsi que la flagellation et d’autres sanctions équivalant à des actes torture et à d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Le 22 juillet 2024, des policiers iraniens ont tiré des munitions létales sur une voiture dans laquelle circulait Arezou Badri, âgée de 31 ans, la blessant grièvement. Selon les médias, ils voulaient saisir le véhicule dans le cadre de l’application des lois sur le port obligatoire du voile.

En août, une vidéo inquiétante a circulé sur les réseaux sociaux montrant plusieurs agents en train d’agresser violemment deux adolescentes de 14 ans ayant retiré leur foulard. L’une d’entre elles, Nafas Hajisharif, a raconté dans une interview aux médias : « Elles me tiraient par les cheveux, me criaient dessus et m’injuriaient… Lorsqu’elles m’ont fait monter dans le fourgon, elles m’ont projetée à terre. Une agente m’a frappée, a mis son genou sur ma gorge et m’a cognée fort sur la tête. J’avais la tête coincée entre les sièges, et elles me donnaient des coups de pied sur le côté du torse. »

L’offensive totale contre les femmes et les jeunes filles qui revendiquent leurs droits fondamentaux à la liberté d’expression, de réunion pacifique, de religion, de croyance et d’autonomie, est le fait de plusieurs services de l’État chargés de faire appliquer les lois iraniennes dégradantes et discriminatoires sur le port obligatoire du voile, dont la police des mœurs (police amniat-e akhlaghi), la police de la circulation, les services du parquet, les tribunaux, le ministère du Renseignement, les gardiens de la révolution, y compris leurs forces bassidjis, et les agents en civil.

Par ailleurs, le Parlement iranien s’apprête à adopter un « Projet de loi visant à soutenir la culture de la chasteté et du hidjab », en vue de légaliser la répression acharnée contre les femmes et les filles qui contestent le port obligatoire du voile.

Un recours accru à la peine de mort

Depuis l’émergence du mouvement « Femme, Vie, Liberté », le recours à la peine de mort a doublé : 2023 est l’année présentant le nombre record d’exécutions depuis huit ans. Les autorités se servent de ce châtiment comme d’un outil de répression pour terroriser la population, notamment la minorité ethnique baloutche persécutée qui est impactée de manière disproportionnée.

Dix hommes ont été exécutés arbitrairement depuis décembre 2022, en lien avec les manifestations de septembre-décembre 2022, dont Reza (Gholamreza) Rasaei, exécuté en secret le 6 août 2024.

Ces exécutions ont eu lieu à l’issue de simulacres de procès manifestement iniques fondés sur des « aveux » extorqués sous la torture et les mauvais traitements, y compris des violences sexuelles, qui n’ont pas fait l’objet d’une enquête indépendante et impartiale.

Plus d’une dizaine de personnes risquent encore d’être exécutées ou condamnées à mort en lien avec les contestations, dont Mojahed Kourkouri.

Dans le cadre de cette escalade, on note aussi le recours à la peine de mort contre des femmes pour des accusations à caractère politique. La défenseure des droits humains Sharifeh Mohammadi et la militante de la société civile kurde Pakhshan Azizi ont récemment été reconnues coupables de « rébellion armée contre l’État » (baghi) et condamnées à mort par des tribunaux révolutionnaires dans des affaires distinctes, uniquement en raison de leur militantisme pacifique. Selon des informations très inquiétantes, elles ont subi des actes de torture et des mauvais traitements en détention. Au moins deux autres femmes, Wrisha Moradi et Nasim Gholami Simiyari, sont également jugées pour « rébellion armée contre l’État » (baghi) dans des affaires distinctes.

Les violences sexuelles, une arme de répression

Au cours des deux dernières années, les autorités n’ont cessé de nier que des représentants de l’État aient infligé aux personnes arrêtées lors des manifestations des actes de torture et des mauvais traitements, notamment des viols et d’autres formes de violences sexuelles.

Pendant le soulèvement, les forces de sécurité et les services de renseignement iraniens ont commis des actes de torture et des mauvais traitements généralisés contre les manifestant·e·s arrêtés. En décembre 2023, Amnesty International a publié une synthèse dénonçant ces actes effroyables, comme les viols, les viols collectifs et d’autres formes de violences sexuelles, perpétrés en vue d’écraser les manifestations et de terroriser et punir les manifestant·e·s, dont des mineur·e·s parfois âgés d’à peine 12 ans.

En mars 2024, le Haut Conseil des droits humains de la République islamique d’Iran, qui n’est pas un organe indépendant et siège au sein du pouvoir judiciaire, a répondu à l’enquête d’Amnesty International, affirmant que le pouvoir judiciaire iranien avait enquêté sur les plaintes et « constaté que dans 28 des 31 provinces, aucune plainte n’avait été déposée pour viol, agression ou harcèlement sexuel ». Toutefois, Amnesty International a recueilli de nombreuses informations attestant que l’appareil judiciaire et le parquet rejettent ou dissimulent des preuves de violences sexuelles, y compris des plaintes de victimes.

Dans les trois provinces où les autorités ont reconnu avoir reçu des allégations de violences sexuelles émanant des services de renseignement et de sécurité, elles ont assuré que ces individus s’étaient faits passer pour des agents des forces de l’ordre. Or, un document rédigé par le procureur adjoint de Téhéran, qui a fuité en octobre 2022, reconnaissait que deux auteurs présumés de viols de manifestantes étaient des agents des gardiens de la révolution et conseillait de classer l’affaire « totalement secrète ».

Une crise d’impunité systémique

Les représentants de l’État soupçonnés d’être responsables de crimes de droit international et de violations des droits humains continuent d’échapper à la justice.

En mars 2024, le « Comité spécial chargé d’examiner le soulèvement de 2022 », un comité non judiciaire et partial créé par l’ancien président pour faciliter la campagne officielle de déni, de déformation et de dissimulation, a publié son rapport. D’après lui, les forces de sécurité ont « agi de manière responsable » face aux manifestations, lors même qu’il est établi qu’elles ont fait un usage illégal de la force, y compris meurtrière.

Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a prolongé le mandat de la Mission d’établissement des faits des Nations Unies sur l’Iran (FFMI) en avril 2024, mais les autorités iraniennes persistent à refuser de coopérer avec cet organe indépendant et à refuser de laisser ses membres entrer dans le pays.

Amnesty International fait écho à la FFMI qui recommande à tous les États de diligenter des enquêtes pénales sur les responsables iraniens raisonnablement soupçonnés de crimes de droit international en vertu du principe de compétence universelle, que l’accusé·e soit présent ou non sur leur territoire, et d’ouvrir « des investigations structurelles sur la situation générale liée aux manifestations de 2022 sans suspect identifié ».

Tags: PrisonnièresViolence contre les femmesvoile obligatoire
ShareTweetPinShareEnvoyerShare

Recommandé pour vous

Dix femmes bahaïes condamnées à 90 ans de prison par la Cour d’Ispahan

October 6, 2025
Dix femmes bahaïes condamnées à 90 ans de prison par la Cour d’Ispahan

La 47e chambre de la Cour d’appel d’Ispahan a confirmé un total de 90 ans de prison et des peines supplémentaires contre dix femmes bahaïes, marquant l’un des...

Lire la suiteDetails

Zeinab Jalalian : renvoyée de force à la prison après une chirurgie incomplète

October 3, 2025
Le sort de Zeinab Jalalian : La lutte d'une femme pour la liberté et la justice

Zeinab Jalalian, prisonnière politique kurde et seule femme en Iran à purger une peine de prison à vie, serait dans un état critique. Après avoir subi une opération...

Lire la suiteDetails

Reyhaneh Irandegani, 21 ans, femme baloutche arrêtée à Tchabahar à la place de son frère

October 3, 2025
Reyhaneh Irandegani, 21 ans, femme baloutche arrêtée à Tchabahar à la place de son frère

Les forces de sécurité du régime iranien ont pris d’assaut la maison d’une famille baloutche dans le district de Golchahr à Tchabahar et arrêté une jeune femme de...

Lire la suiteDetails

Prison d’Adelabad à Chiraz : situation alarmante du quartier des femmes

October 2, 2025
Prison d’Adelabad à Chiraz : situation alarmante du quartier des femmes

La prison d’Adelabad, également connue sous le nom de prison centrale de Chiraz, est l’un des plus grands centres de détention d’Iran. Ces dernières années, elle est devenue...

Lire la suiteDetails

30 prisonniers politiques demandent le retour des femmes de la prison de Qarchak à Evin

October 2, 2025
30 prisonniers politiques demandent le retour des femmes de la prison de Qarchak à Evin

Le mercredi 30 septembre 2025, trente prisonniers politiques détenus à la prison d’Evin à Téhéran ont publié une déclaration commune condamnant les « conditions inhumaines » auxquelles sont...

Lire la suiteDetails
Article suivant
Soulèvement iranien de 2022 : Les femmes iraniennes au cœur de la lutte pour la liberté

Soulèvement iranien de 2022 : Les femmes iraniennes au cœur de la lutte pour la liberté

Documents

Iran : L’échec de la loi sur la croissance démographique malgré la répression des femmes

Iran : L’échec de la loi sur la croissance démographique malgré la répression des femmes

August 26, 2025

...

Femmes veuves en Iran : Principaux problèmes et défis

Femmes veuves en Iran :  Principaux problèmes et défis

June 22, 2025

...

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

Souffrances invisibles et esclavage moderne : Regard sur la situation des travailleuses en Iran

April 28, 2025

...

Bulletin mensuel

Rapport de septembre 2025 : Tous les 4 jours, une femme est exécutée en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de septembre 2025 : Tous les 4 jours, une femme est exécutée en Iran

September 30, 2025
Rapport de août 2025 : Double répression des prisonnières politiques et de leurs familles
Bulletin mensuel

Rapport de août 2025 : Double répression des prisonnières politiques et de leurs familles

August 31, 2025
Rapport de juillet 2025 :Un crime en cours : la menace imminente d’un nouveau massacre de prisonniers politiques en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de juillet 2025 : La Menace d’un Nouveau Massacre en Iran

July 25, 2025
Rapport de juin 2025 : féminicide, la violence structurelle en Iran
Bulletin mensuel

Rapport de juin 2025 : féminicide, la violence structurelle en Iran

June 30, 2025

Articles

Journée mondiale des enseignants : Enseignantes en Iran sous oppression et discrimination

Journée mondiale des enseignants : Enseignantes en Iran sous oppression et discrimination

October 4, 2025

...

Prison d’Adelabad à Chiraz : situation alarmante du quartier des femmes

Prison d’Adelabad à Chiraz : situation alarmante du quartier des femmes

October 2, 2025

...

Prison de Qarchak : décès en série dus à la négligence médicale

Prison de Qarchak : décès en série dus à la négligence médicale

September 28, 2025

...

Tombées pour la liberté

Fatemeh Farshchian, une figure de la résistance iranienne
Tombées pour la liberté

Fatemeh Farshchian

September 12, 2025
Sussan Mirzaei : une pionnière de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran
Tombées pour la liberté

Sussan Mirzaei

May 2, 2025
Nosrat Ramezani
Tombées pour la liberté

Nosrat Ramezani

May 2, 2025
Ayda Rostami
Tombées pour la liberté

Ayda Rostami

December 10, 2024

A PROPOS DE NOUS

Commission des Femmes

Nous croyons que les femmes sont la force de changement. Nous croyons dans l’égalité totale entre les sexes dans les arènes politiques, sociales et économiques. Nous sommes la voix des femmes en Iran.
Nous travaillons beaucoup avec les femmes du monde entier et de maintenir un contact permanent avec les femmes en Iran. Nous nous engageons à lutter pour les droits bafoués des femmes en Iran.

CATEGORIES

  • Activités
  • Articles
  • Bibliothèque de reference
  • Bulletin mensuel
  • Communiqués
  • Conférence du 8 Mars
  • Discours de Maryam Radjavi
  • Documents
  • Femmes marquantes
  • Héroïnes enchaînées
  • Infos des Femmes
  • Les femmes dans l'histoire
  • Les femmes de la Résistance
  • podcast
  • Solidarité
  • Tombées pour la liberté
  • Vidéo

PARCOURIR PAR ETIQUETTE

coronavirus crimes d’honneur enseignantes exécution femmes chefs de famille femmes rurales génération égalité infirmières la petite fille le leadership des femmes l’écart entre les sexes Manifestations mariage précoce pauvreté Plan des libertés et des droits des femmes Prisonnières Violence contre les femmes voile obligatoire éducation

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

Pas de résultat
View All Result
  • Accueil
  • Infos
    • Infos des Femmes
    • Articles
    • Communiqués
  • Publications
    • Bulletin mensuel
    • Documents
    • Bibliothèque de reference
  • Qui sommes nous?
    • La commission des Femmes du CNRI
    • Égalité des genres
  • Mayram Rajavi
    • Qui est Maryam Radjavi, la dirigeante de l’opposition iranienne?
    • Discours de Maryam Radjavi
    • Plan en 10 points pour l’Iran
    • Plan des libertés et des droits des femmes dans l’Iran libre de demain
  • L’Avant Garde
    • Tombées pour la liberté
    • Les femmes de la Résistance
  • Événements
    • Activités
    • Conférence du 8 Mars
  • Vidéos
  • podcast
  • Contactez-nous
  • Faites un don
  • English
  • فارسی
  • عربی

Le copyright de tous les documents publiés sur ce site web a été enregistré sous © 2016 par la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. Pour obtenir l'autorisation de copier, redistribuer ou publier le matériel publié sur ce site, vous devez écrire à la commission des Femmes du CNRI. Veuillez inclure le lien de l'article original sur notre site web, women.ncr-iran.org/fr.